I Muvrini à Ludres, 9 décembre 2010

belle journée que celle d'hier....
après un départ lent ( 3 heures pour faire 8 km.... avec une route dégagée,, on ne comprenait pas pourquoi cela ne roulait pas...en fait, ce sont les forces de l'ordre qui libéraient les camions en rétention, et cela a fait un bouchon monstre sur 8 km...)
heureusement que je suis partie très tôt!!!
une fois la barrière de péage de Saint Avold passée, cela roulait sans soucis....

la file de camions qui bloquait l'autoroute


arrivée chez Cath... là, tout allait bien!!!!

nous sommes parties pour le concert... belle salle , à Ludres.. je ne la connaissais pas... mais, elle est bien...
elle était pleine... l'ambiance était chaleureuse....
j'adore leur musique.... on ressort de là pleine de belles émotions, de bons sentiments, d'amour de l'autre...
bon, vous dirais-je les efforts qque j'ai fait pour ne pas tousser??? concentration maximale... comme j'enregistrais, je ne voulais pas "polluer" le son avec ma toux... d'ailleurs, là, je vous écris en écoutant ... magique!!!!













et voici Jean François,




et Alain et Stéphane...


et les voici tous les 3 ensemble!!!


et je vous présente Laurent, mon ami... il est le régisseur de la tournée.... j'étais très contente de le voir... il me semble que lui aussi....


comme je le disais, une belle soirée de partage, d'amitié, de beaux et bons sentiments.... I Muvrini, quoi.....

et , à la fin, une petite parole, comme une promesse.... " on va faire quelque chose ensemble en 2011....." hmmmm!!!! vivement que cela arrive!!!!

Hélène !!
trop heureuse pour toi que tu ai partagé ces évènements!!!

et oui oui oui vivement le début des répétitions des 2000 version année 2011 !!!! vivement I Muvrini en choeur avec nous tous !!!
je deviens fole je crois lol

Sur ce, repose toi bien, moi j'ai hate d'etre en week end!
gros bisous !!!!!

MERCI HELENE , pour le partage de ta super soirée .
J'étais à la MAI...dur, dur, car je n'ai pas récupèré au niveau vocal .
Jacky, nous a parlé des I Muvrini, rencontrés avant le spectacle et de leurs projets communs pour notre aventure, prévue en 2011
Les inscriptions arriveront aux alentours de Noël. Quel magnifique cadeau, n'est-ce pas?
Alors à toutes et tous, je vous dis à bientôt. Bises. Guitare54

Sommes tjs raccord ma bonne lucette..euh ..LN; je m'étouffais dans mon écharpe pour ne pas tousser à la MAI;heureusement Flo eétait là avec des pastilles (presque ) miracle

l'espace Chaudeau à Ludres, très belle salle, je ne connaissais pas, l'acoustique est super...











il me semble reconnaitre toutes ces personnes, j'ai passé une superbe soirée avec les corses et tous les amis choristes, à la fin ils ont même eu droit à notre chanson "tu coules encore, coules encore" un bonne dizaine de personnes ont chanté cette chanson pendant qu'ils donnaient des autographes

et une bonne nouvelle, la Lorraine va les revoir en 2011

d'autres photos sont sur FaceBook !!

Un pur bonheur. Géant. S'améliorent d'année en année. Personne ne voulait arrêter, ni eux, ni nous. Soirée grandiose avec de grands musiciens et de grands chanteurs, en un mot des grands artistes. On attent la prochaine fois. Bisous à tous. MIMI

Francette tu as quoi comme appareil photo, le même que les paparadzi ??? mdr
trop belle toutes ces photos!!!
Que de bon souvenirs vous avez du partagez avec eux !!!!

contente qu'ils reviennent pour 2011 !!! Là me faut un autographe pour ma maman qui en est fan !!!

Francette, fana de photos, a un super appareil!!!
merci de partager tes belles prises!!!!!
bisous à tous!!!

lu dans " la nouvelle république"

concert
I Muvrini : '' Parler la langue de son époque ''
11/12/2010 05:38
Le duo corse est en concert à Tours. Loin de s'enclaver dans un style et une culture, les '' petits mouflons '' veulent faire une musique ouverte sur le monde.

Les frères Bernardini sont sur la scène du Vinci ce soir.



- Jean-François Bernardini, cela fait 24 ans que votre groupe I Muvrini existe. Comment expliquez-vous un tel succès, sur la longueur, de ce qui est, à la base du chant traditionnel corse ?

« Je pense qu'on a eu la chance de recevoir l'héritage extraordinaire que la Corse nous a donné. Et on a certainement eu l'audace de ne pas être des conservateurs d'arts et de traditions populaires, mais des musiciens, des créatifs. On a voulu inventer, être curieux, ne pas avoir peur des chants de notre époque, de la rencontre. »

Vous avez dépoussiéré les chants traditionnels. C'était un choix, pour s'adresser au plus grand nombre ?

« Le choix, c'est de parler la langue de son époque. L'important, c'est de raconter notre matière d'entendre le bonheur, la vie, les blessures, les rêves. Et ça, c'est pareil sous toutes les latitudes, dans toutes les langues du monde. Un artiste, c'est ça, son témoignage. C'est de troubler par l'émotion, par le frisson. Préserver la tradition au sens ethno-musicologie, c'est utile, mais ce n'est pas ce que l'on a choisi de faire. On veut mettre cette culture sur la grande scène du monde. »

La plupart de vos chansons sont en corse. Ceux qui ne le parlent pas ne comprennent pas les paroles, mais apprécient quand même. Pourquoi ?

« Je pense que 98 % des gens qui écoutent Bob Dylan, Bruce Springsteen ou U2 ne comprennent pas ce qui est chanté. La musique, c'est d'abord une histoire d'émotion, de feeling. Nous, dès qu'on sort de France, nous ne sommes plus considérés comme des chanteurs de musique en langue régionale, mais comme des chanteurs tout court. La musique permet de dépasser ces prismes, par le son, la sonorité de la langue, le message et la pédagogie. Quand on va dans un pays, sur scène, on parle dans la langue du pays, on joue à traduire les paroles avec le public... On a cette chance d'être un peu multilingue, ça nous aide énormément. »

Vous parliez de rencontres. Vous avez chanté avec des artistes de milieux et de styles très différents. Cela fait partie de cette volonté d'ouverture ?

« La musique nous donne cette chance de trouver des frères sur notre chemin. Ceux que l'on trouve, c'est ceux avec qui on a des accointances artistiques et humaines. Il y a des dénominateurs communs très forts entre Grand Corps Malade et nous, par exemple. Les banlieues et la Corse ont cela en commun d'être des terres qui ont des caractères très forts, et qui ont envie de faire entendre autre chose que ce que l'on dit d'elles. On en parle souvent comme des cancres de la République, on met en avant les histoires de gendarmes et de voleurs, le bruit, la racaille ou que sais-je. On a en commun cette volonté de réussir, par les mots, à changer les regards. »

Qu'est-ce que cela apporte de vous voir sur scène, par rapport à vos albums ?

« Déjà, cela permet d'entendre des salles qui chantent en corse, partout dans le monde. On veut embarquer le public pour un voyage. Il ne s'agit pas de délivrer nos chants et de dire bonsoir. La mission, c'est d'établir une vraie rencontre. On donne à ce public quelque chose dont il a soif, qui élève un peu les coeurs et les âmes. Je pense que les petites cultures ont quelque chose de précieux qui manque au monde : un rapport au vivant, à la vie, aux anciens, à la terre. On chante pour divertir, mais il n'y a pas que ça. Cette soif, c'est ce qui explique la reconnaissance que l'on a du public. On chante quelque chose qui va bien au-delà de la Corse. »

Samedi 11 décembre à 20 h 30 au Vinci, à Tours. De 37 à 45 €. Points de vente habituels.

Recueilli par Thierry Soulard

je n'ai pas un super appareil, qu'un Panasonic compact mais un bon objectif, gd angle, Zomm 10x et je sais retravailler un peu mes photos, n'oubliez pas que je fais du scrap, ça aide un peu quand même, va falloir que j'en fasse quelques uns d'ailleurs avec ces photos

lu aujourd'hui dans " Sud-Ouest"

12 décembre 2010 06h00 | Par ronan chérel 0 commentaire(s)


« Sans âme il n'y a pas d'avenir »
Le groupe corse vient partager à Saint-Georges son message d'amour et de tolérance.

Jean-François Bernardini : « I Muvrini chante quelque chose de plus grand que la Corse. » photo Jean-Daniel Chopin




Une conversation avec Jean-François Bernardini prend immanquablement une dimension quasi métaphysique. Sondez le cofondateur d'I Muvrini sur le monde tel qu'il va, vous réveillerez l'humaniste qui ausculte une société malade du cœur.

« Ce qui n'a pas d'âme n'a pas d'avenir », répète comme un leitmotiv Jean-François Bernardini. De l'âme, justement, son frère Alain et lui ont fait le socle de leur chant. Ils sont corses, défendent leur île, sa culture, sa langue, mais se défient des clivages. Au contraire. « Nous chantons quelque chose de plus grand que la Corse. J'ai le sentiment que nous répondons à une soif de diversité, de quelque chose de profond, qui nourrit, qui élève les cœurs. Un besoin universel. »



« Le recul des valeurs »
Son message « universel » d'amour, de tolérance, d'ouverture, I Muvrini ne le véhicule pas seulement en langue corse, bien sûr, mais quand bien même le ferait-il que Jean-François Bernardini n'y verrait pas un frein, un obstacle à la rencontre du public. « La force de la musique, c'est de prouver qu'on est plus sensible à ce qu'on ressent qu'à ce qu'on comprend. Il faut d'abord susciter des émotions. »

Humaniste en même temps que régionaliste, en évitant l'écueil du nationalisme sectaire et clivant, Jean-François Bernardini est artiste autant que citoyen d'un monde qu'il a parcouru en avion et en musique, convaincu de pouvoir apporter sa pierre. Mais à quel ouvrage ? À la lutte contre « l'appauvrissement culturel », à la lutte contre « le recul des valeurs morales » dont souffrent nos sociétés. Même s'il est « dubitatif sur l'efficience » du récent appel à retirer son argent des banques, il adhère au fond de la démarche. « Parce qu'on a bien compris que le système bancaire a quelque chose de pervers, qu'il incarne un recul de la notion d'éthique » à laquelle il est lui-même farouchement attaché.

« Sois le changement… »
« Ce qui n'a pas d'âme n'a pas d'avenir. » La stigmatisation des Roms et plus largement des immigrés ? Insupportable, évidemment. Le « passionné de solutions » qu'il est en appelle à un sursaut collectif qui ne peut prendre appui que sur la réaction de chaque individu. « J'aime cette maxime de Gandhi : "Sois toi-même le changement que tu veux voir autour de toi." Nous avons tous une responsabilité. Bien sûr, le pouvoir politique est le premier à incarner le problème moral, mais le citoyen a toujours et encore le devoir d'agir, d'infléchir, de s'organiser. » Jean-François Bernardini a le sentiment d'assumer, à sa manière, celle d'un artiste porteur d'une « énergie positive », sa responsabilité envers le monde. Il a sa propre recette : « On a besoin de contaminer par la bonne santé. » Oh, bien sûr, « aujourd'hui, avec le bonheur, on ne fait pas la une ». On ne passe pas non plus totalement inaperçu. I Muvrini sillonne le monde depuis trente ans avec ce même message comme fonds de commerce et le bonheur lui réussit.

I Muvrini en concert ce dimanche, à 17 h 30, à l'Espace Colette-Besson de Saint-Georges-de-Didonne. Tarifs : normal, 30 €; réduit, 27 €.

http://www.kizoa.fr/diaporama/d1326558k9783797o1/concert-i-muvrini-ludres-nov-2010

voilà, j'y ai mis du temps, mais il est là, à écouter sans modération, j'ai partagé sur Face Book et sur mon blog, merci pour les p'tits commentaires sur mon blog, ça fait tjs plaisir

Supeeeeeeeeeeeeeeeeerr

Francette c'est magnifique !

Bravo et merci Francette. J'aimerais pouvoir en faire autant.

Merci Francette, on s'y croirait encore. Tes photos sont très belles super nettes,
quant à tes montages, il n'y a plus rien à dire, t'es la super pro. Bravo. Bisous et bonne journée. MIMI

starlet a écrit:Bravo et merci Francette. J'aimerais pouvoir en faire autant.

c'est la 1ère fois que je fais un diaporama, il suffit d'aller chez Kizoa, passer presque une journée dessus, payer, car j'ai pris des fonctions Premium, musique perso etc... faire des essais, s'énevrer un peu et le tour est joué

:0020: c bô pour une 1ére fois chapeau !!! superbement bien fait ! bon Noêl