Bienvenue dans le choriste-bar!!!!!! Live on MARS ( David Bowie)

Bonjour Papy Truc,

Qu'importe le chemin (avec ou sans détours) pourvu qu'on y arrive... au bar...
Merci pour l'apéro... y a pas grand monde... j'en reprendrai un à la santé des autres...
Au fait, si quelqu'un est en ligne, JF Bernardini au journal de 13h00 sur la deux... là dans quelques minutes,

Bonne journée à tous,
Martine (en vacances )

Merci pour ton info Martine , ça m'a fait un énorme plaisir de voir J.F Bernardini !
Quant à toi Papy Rémi Truc , je me demandais quand tu allais arriver ! , tu as fait comme moi : t'as pas trouvé la porte du premier coup , allez hop : , à la tienne , allez hop : tournée générale ! oups : rien que d'y penser ça me fait déjà tourner la tête , alors après ça : et ça iraaaaa , bisous à vous tous !

bonjour, Papy Rem', bonjour, tous....

avez-vous passez une belle journée, entre soleil ,vent et pluie....??????

allez, pour vous le mettre dans le coeur, le soleil, voici une vidéo que vous allez apprécier...

Jean-François nous parle de Gioia, la joie.. et nous en donne une belle définition....

http://ma-tvideo.france3.fr/video/iLyROoafvGUw.html

( merci à Sylvianne, pour ce partage!!)

je reste dans le coin....

pour rester dans la même mouvance, un interview de jean-François... dans le journal belge " la dernière heure" ( DH)

I Muvrini, des hommes debout(30/03/2010)

D.R.
Rencontre passionnante avec I Muvrini, au lendemain de leur concert bruxellois

BRUXELLES D’album en album, sans dévier de leur trajectoire, I Muvrini se renouvelle. Dans l’ensemble purement vocal, ils font entrer des instruments. Ils tentent des duos, imaginent d’autres formes de concert. Jean-François Bernardini, l’âme et la moitié du duo fondateur (avec son frère Alain) sourit quand on lui parle de sillon, lui pour qui la terre veut dire quelque chose… “ On est dans un métier qui nous permet tout, sauf de fonctionner ”, dit-il.

“On vit dans un monde qui nous rabaisse tous à fonctionner. C’est la pire chose qui puisse nous arriver, à tous. Le propre de notre métier, c’est d’avoir la force du renouvellement. À quoi servons-nous, nous autres, les chanteurs ? À montrer notre tête, une fois de temps en temps ? La musique peut avoir un rêve plus grand que ça. Et par les temps qui courent, on a soif d’autre chose. Dans ce monde où le poison est distillé élégamment dès l’enfance, réussir à trouver des petits repères, faire le choix de croire que l’homme est capable de grandeur, de valeurs, c’est déjà espérer. C’est notre parti pris. Dans cet album, il n’y a pas de victimes, pas de plaintes. Il y a la joie, vivifiante. Celle qui met les cœurs debout.”

Une joie transmise par différentes voix…

“Oui, que ce soit au travers de ce chant pour les prisons, ou au travers de la voix de Vincent, ce jeune centenaire corse qui slame avec nous. Slamer, c’est tellement simple : c’est parler avec la prosodie de sa voix, le faire de manière naturelle et, surtout, avoir des choses à dire. En même temps, nous venons d’une musique qu’il a fallu dérégionaliser, déflokloriser, démarginaliser – parce que, bien évidemment, les Corses ne peuvent chanter que pour les Corses…”

Ça y est, ça, aujourd’hui, on a compris que ce n’était pas le cas !

“En France, on n’est pas toujours si convaincu. Je ne parle pas du public, je parle de la manière de laisser une place à cette diversité. Par exemple, il n’y a pas une radio de service public, en France, où vous entendrez une chanson en langue corse, fut-ce la nôtre ou celle de n’importe qui. Pour nous, se renouveler, c’est ça : chanter dans la langue de son époque, être capable de s’inventer des frères, voir les trésors qui sont près de nous et qu’on ne voit plus. Vincent, le centenaire, il y en a des dizaines de milliers dans le monde, des gens qui comme lui, à 101 ans, disent que la chose qui rend le plus heureux au monde, c’est la solidarité.”

Vous avez des moments de doute, vous-même, parfois. En regardant autour de soi, ce n’est pas toujours réjouissant…

“Bien sûr. Le venin de l’impuissance nous guette tous les jours. Vous lisez la presse, vous regardez autour de vous. Mais c’est de ça dont il faut se protéger, il faut trouver une force qui vous rend insubmersible. Quand je retourne le monde et que je le regarde sur l’autre face, je me dis qu’il y a des gens qui font des choses merveilleuses. Le problème, aujourd’hui, c’est qu’avec des vies simples et dignes, comme celle de Vincent, vous ne faites pas la Une. C’est ça, la vulgarité. Nous vivons dans un monde où la vulgarité voyage beaucoup plus vite que la beauté. Ça demande beaucoup moins de talent…”




Interview > Isabelle Monnart

je viens de mettre en place les 2 prochains mois dans le choriste-bar...
toujours selon le principe d'annoncer les choses avec une chanson... mais les posts sont encore verrouillés... ils seront ouverts au jour dit, soit, le 1er du mois.... mais, cela vous donne déjà une idée du fonctionnement... des messages réunis par mois... on retrouvera ainsi les sujets plus facilement, le cas échéant..

bonne nuit à tous.....

Coucou Hélène,

et surtout tu n'effaces rien des mois passés ! lol !
mais en tant qu'archiviste, collectionneuse etc... je sais que tu ne le feras pas...

Martine.

PS : au fait, la nuit, tu rêves de forums ?

S A L U T A T O U S
Fin du déjeuner, Babe de capucin, avec lardons croûtons oeufs durs le tout en vinaigrette.
Café (pendant que je tape ce Post)
Bon aprem' à tous
Rem' Papy Truc