Choros 10, avec les choristes et l'ONL, Arsenal de Metz, 16 sept 2011.....

le Choro 10 de la soirée.. ( ce n'est pas le bis, qui était un peu moins top !!!)

à écouter, à télécharger, en souvenir de notre prestation.......
enregistrement MP3, qui n'a de valeur que de souvenir...............( il faut passer la 1° page qui est de la pub à télécharger, au bout de 5 sec, en cliquant sur passer l'annonce... on tombe alors sur l'écran pour écouter la prestation.....


http://www.4shared.com/audio/pu1mqBJO/choros_10_ONL_et_choristes.html

merci à mon homme ( qui n'a pas le choix d'ailleurs... ce sont ses missions!!!!! )

bonne écoute!!!

pour le plaisir, je suis allée ré-écouter la version du Choros mise en page 1 du post Sarrebourg septembre 2011....

oh!!! j'ai ri !!!!

car :

ce sont les sopranes qui chantent les morceaux "phrasiques" des altis , en faisant oh......

il y a autant le bocson à la fin que chez nous...
et pas de snipers chez eux, car, 1 mauvais départ sur le Ah de la première fin, et pas de cohésion d'ensemble sur le Ah de la deuxième fin....

donc....

écoutez, faites vous votre avis...
moi, je pense qu'on a été pas si mauvais-mauvais... on supporte la comparaison....

bisous... après ma matinée de triturage, de recherche ( je n'avais jamais coupé un fichier son pour l'envoyer...) , et ma fierté de réusiite à vous faire ce partage... je vais me faire un bon thé bien mérité!!!!!!!

merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii à Alain pour sa "mission" si bien remplie !! attention, c'es très long à charger, n'abandonnez pas en route, je n'ai pas encore écouté, je suis en train de le mettre sur mon disque dur, mais j'attends avec impatience de voir notre résultat, car après ce que j'ai entendu hier d'une personne bien placée et soi disant" bien éduquée" j'étais très très déçue de son "parlé"

60%, ça devient bon, j'ai hâte d'écouter bientôt, bonne soirée et bon dimanche, pour moi encore en chant et à vendredi prochain pour la suite des réjouissances !!

Francette, cela a pris du temps aussi à mettre en ligne...
j'attendais patiemment, en espérant que cela ne me plante pas... car , je voulais le partager avec vous tous!!!
juste histoire de...........

encore 6 minutes, ça dépend ausi du taux de transfert, ça devient bon, tu as eu mon MP ?
et encore merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii à toi aussi, bizzzzzzzzzzzzzzz

oui!!!!
mais, bon, cette dame se garde son avis...
dans les conditions où nous l'avons fait, on peut être satisfait...
écoute le morceau, compare le à celui de youtube mis en première page de Sarrebourg septembre 2011... et tu me diras!!!!

oui, bien sur, qu'elle pense ce qu'elle veut, mais ça ne se dit pas ou pas de cette façon là !!

je viens de l'écouter, il tourne encore en boucle, on ne peut que être content de notre prestation, effectivement j'ai réécouté l'autre morceau, les altis n'ont pas la belle partie phrasée, ça a été remplacé par des "ou", mais je pense que chaque chef de choeur fait de "sa façon", mais la notre est très jolie et on a pas du tout à s'en plaindre, au contraire, qu'en pensez vous !!

CQFD ( ce qu'il fallait dire!!!)

as-tu remarqué le faux départ dans le ah final du youtube???
as tu remarqué que cela faisait aussi boogy-woogy que chez nous dans la dernière partie????
donc, la madame machin chose, tout prof de musique qu'elle est... hein???? pourquoi elle était pas avec nous, si elle savait si bien?? hein??

la critique est aisée, mais l'art est difficile!!!!! ( Philippe Destouche)

exact, je viens aussi de comparer les deux versions, entre la générale et le concert le lendemain, il n'y a que du mieux, les "ah" de la fin sonnent bcp mieux que la 1ère version et les césures ont bien été respectées, bravooooooooo à nous tous !!
@ pluche et la madame untel peut aller se coucher

merciiiiiiiiiiiiiiiiiii. Les filles je ne sais qui a dit quoi, mais on s'en ........moque . On l'a fait...... et pas si mal .

Francette

je te parlais de cette version-ci:


à comparer avec la notre!!!

bisous, Mamie!!! qui passe par là avec ses grimaces!!!
bisous, Francette!!
bisous, tous!!!

dans cette version, je trouve qu'on distingue bien les différentes voix


https://www.youtube.com/watch?v=7UnVmG-DDhY

belle qualité de son ...


peut-être qu'on aurait pu "bouger" un peu aussi, nous !

Hélène a écrit:Francette

je te parlais de cette version-ci:


à comparer avec la notre!!!

bisous, Mamie!!! qui passe par là avec ses grimaces!!!
bisous, Francette!!
bisous, tous!!!

oui, je sais que tu parlais de celle ci, je l'ai aussi comparé, c'est là dedans que les altis n'ont pas la belle mélodie phrasée (remplacée par les "ou") bizzzzzzzzz

oui, c'est vrai... mais pour bouger, il faut être vraiment à l'aise sur le chant, ne pas avoir la pression que nous avions, et avoir plus d'heure de répétition pour réunir les 2 précédentes conditions!!!
tu imagines, les presque 300 choristes à bouger??? ce serait le pied, mais très.... dérangeant pour les spectateurs... éclaboussures assurées dans la salle...
mais c'est vrai qu'un léger balancement aidait à tenir le rythme....

de plus, c'est un choeur de Sao Paulo... ils ont le rythme dans le sang...

donc, dur de comparer avec eux...

cath. a écrit:dans cette version, je trouve qu'on distingue bien les différentes voix


https://www.youtube.com/watch?v=7UnVmG-DDhY

belle qualité de son ...


peut-être qu'on aurait pu "bouger" un peu aussi, nous !

très belle version aussi et ça bouge bien, on aurait pu, oui, la prochaine fois !!

Ok , c'était pas parfait mais je trouve qu'on a quand même bien limité les dégâts et que le résultat ne sonne pas si mal !!
Je ne sais pas qui à dit quoi , mais ceux qui osent émettre des critiques blessantes n'ont qu'à participer ... c'est facile de seulement parler , et encore plus de critiquer .
Je pense que nous avons tous fait de notre mieux et c'est ça qui compte ... même si le résultat n'est pas à la hauteur des espérances . Bravo à tous !!

Merci merci merci pour le partage de ce souvenir. Mais oui, ce n'est pas si mal, on a vraiment fait le mieux possible, je trouve aussi que nous n'avons pas à rougir de notre prestation, même si tout n'est pas parfait sans doute... Les dames qui savent mieux , on , et elles viennent faire pareil...
Je retourne écouter

https://www.youtube.com/watch?v=Z5Wots22cn4

Normalement, on a un petit extrait de la deuxième fois, là

merciiiiiiiiiiiiiiiiii, j'ai partagé sur Fesse de Book

TA YA PA KA MA RA YO ! Villa Lobos, sors de ma tête !!!

il paraît qu'il y a un article sur le Répu, quelqu'un qurait'il vu ça ???
bonne journée pluvieuse !!

pour l'instant, à ma connaissance, le seul article publié est celui-ci... le jour même dans le Répu, il annonçait le concert du soir, et la suite.... je vais chercher encore.. mais quelqu'un a une autre info, on partage, comme d'hab'!!!!!


publié le 16/09/2011 à 05:00

Culture |

à l’arsenal L’Amérique latine en fête

Pour son concert de rentrée, ce soir, l’ONL jouera du Villa-Lobos et du Revueltas. Un prélude festif et dansant au Festival Caminos qui débute demain et fera découvrir jusqu’au 25 septembre la musique baroque latino-américaine.






Les musiciens boliviens de San Ignacio Moxos seront présents au concert inaugural de Caminos demain, à 17 h, et le 21 septembre, à 20 h, pour des chants et danses de l’Amazonie. Photo Droits réservés



Le public cherchera, peut-être, des filiations. Jacques Mercier, le chef de l’Orchestre national de Lorraine, s’en garde bien tout en reconnaissant qu’il y a, dans la musique latino-américaine, au XVIII e siècle comme aux siècles suivants, « un aspect très festif et très dansant ».

Pour son concert de rentrée, qui a lieu ce soir à l’Arsenal de Metz, l’ONL a choisi de se mettre au diapason en proposant, en prologue à Caminos, Festival de musique baroque latino-américaine porté par Alain Pacquier (vingt et un concerts, dont douze gratuits, du 17 au 25 septembre), un programme musical certes postérieur mais célébrant le même continent.

« À l’époque où j’ai conçu ce programme, il y avait encore une année du Mexique en France [annulée en mars 2011 à cause de l’affaire Florence Cassez, ndlr] », rappelle Jacques Mercierqui proposera, notamment, Danzon n°2 d’Arturo Marquez, une œuvre souvent jouée par l’orchestre Simon Bolivar, et la Sinfonia Vapor de Melesio Morales (1839-1908), une œuvre fondatrice de la musique symphonique mexicaine écrite pour inaugurer la première voie de chemin de fer du pays en 1869.

Banda de Neira

« On n’en joue qu’un seul mouvement, mais c’est pittoresque », assure le chef d’orchestre dont les musiciens seront rejoints par la Banda de Neira, un orchestre d’harmonie de Colombie qu’on retrouvera dans Caminos, le lendemain, à 20 h, après un concert inaugural consacré au Brésil baroque (17 h).

Ce portrait musical de l’Amérique latine inclura également les œuvres de compositeurs célèbres comme le Brésilien Heitor Villa-Lobos, le Mexicain Silvestre Revueltas et l’Argentin Alberto Ginastera. « Nous jouerons Noche de los Mayas, de Revueltas, une musique crue qui fait penser à Amériques de Varese », s’enthousiasme Jacques Mercier, insistant sur « son côté rituel qui se termine en folie avec une dizaine de percussions et des cuivres très sollicités ». Mais c’est probablement Choros X de Villa-Lobos qui fera le plus d’effet au public quand les 250 choristes de Résonances Lorraines, emmenés par Jacky Locks, invités également en clôture du Festival Caminos (le 25 septembre à 17 h) chanteront sur des syllabes incantatoires et répétitives. « Si j’osais, je dirais que c’est une musique qui foisonne à la manière de la végétation amazonienne », lâche Jacques Mercier. C’est, en revanche, une autre Amazonie, celle des Indiens moxenos de l’Orient bolivien, qu’on découvrira mercredi 21 septembre à 20 hb dans le Festival Caminos, avec vingt jeunes musiciens de San Ignacio Moxox dépositaires d’un « baroque vivant ».

Concert ce soir à 20 h, à l’Arsenal de Metz.



Gaël CALVEZ.

publié le 17/09/2011 à 05:00


Inauguration du festival caminos Metz fête le baroque latino

L’Arsenal de Metz accueille, dès ce soir et jusqu’au 25 septembre, Caminos, Festival de musique baroque latino-américain. Vingt-et-un concerts pour découvrir un patrimoine qu’on croyait à jamais perdu. Éblouissant.





Deux cents musiciens, venus d’une dizaine de pays de l’Amérique latine, vont, pendant neuf jours, à l’Arsenal de Metz, faire découvrir, à travers vingt-et-un concerts (dont douze gratuits), leur musique baroque. Photo Droits réservés



Une grande fête pour se dire adieu. Telle est un peu la philosophie sous-tendue par le Festival Caminos-Le retour des Caravelles qui s’ouvre aujourd’hui à Metz.

Une fête, tout d’abord, puisque deux cents musiciens venus d’une dizaine de pays de l’Amérique latine vont, pendant neuf jours, à l’Arsenal de Metz, faire découvrir, à travers vingt et un concerts (dont douze gratuits), leur musique baroque. Un baroque métissé, fruit de la rencontre entre une musique importée par les conquérants espagnols, via les missions évangélistes, et celle des civilisations autochtones. « Tout, dans cette musique est grandiose. Quand on l’écoute, on a envie de se mettre à genoux », assure Parsival, un musicien équatorien de 30 ans, qui pratique depuis trois ans du luth et du théorbe et prendra part à la fête, dimanche.

Les Chemins du baroque

Un adieu, aussi, parce que s’achèvent Les Chemins du baroque, une aventure musicologique née il y a vingt-cinq ans à Sarrebourg grâce à Alain Pacquier. Son pari ? Porter à la connaissance de tous un patrimoine musical dont seuls quelques spécialistes connaissaient l’existence. C’est ce qu’il réussit à faire avec le chef argentin Gabriel Garrido en diffusant ce patrimoine par des disques (une cinquantaine, édités par le label K 617 au couvent Saint-Ulrich de Sarrebourg) et des concerts, mais aussi en restaurant des orgues historiques.

Le Festival Caminos en donnera un aperçu en proposant, chaque jour, des récitals sur un orgue baroque construit en 2008 par le facteur Jean-François Dupont en réplique d’un instrument historique restauré, la même année, dans le village d’Andahuaylillas, dans la Cordillère des Andes. Loin d’être strictement patrimoniale, cette aventure fut aussi humaine avec la création d’un Conservatoire itinérant lorrain qui permit de former des interprètes en Amérique latine à leur répertoire. À eux désormais de jouer cette musique qui leur appartient.


Gaël CALVEZ.
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publié le 17/09/2011 à 05:00

Culture | à l’arsenal jusqu’au 25 septembre Caminos : Metz sur le chemin du baroque latino

Formés par le Conservatoire itinérant lorrain, des musiciens latino-américains feront revivre, demain à l’Arsenal de Metz, dans le cadre du festival Caminos, la musique baroque de leur continent. Une musique inventive et festive.


Les musiciens ont répété au Couvent Saint-Ulrich de Sarrebourg. Demain, ils joueront à l’Arsenal de Metz. Photo Laurent MAMI



Vous êtes latino ou pas ? » Cette question, lancée en pleine répétition à des musiciens péruviens, colombiens, paraguayens et équatoriens par leur chef d’orchestre, a de quoi surprendre. Posée par Judith Pacquier, coordinatrice du Conservatoire itinérant lorrain, elle ressemble, surtout, à une boutade !

Il y a cinq ans de cela, aucun des musiciens réunis dans cette salle surchauffée du Couvent Saint-Ulrich de Sarrebourg n’avait entendu parler d’une musique baroque latino-américaine.

21 concerts du 19 au 25 septembre

Demain, ce sont pourtant ces mêmes instrumentistes qui, avec le chœur Altérité de Forbach et le chœur du conservatoire de Talange, donneront à l’Arsenal de Metz un programme autour de la Misa de Battala du compositeur Mexicain Francisco Lopez Capillas (XVII e siècle) pour le festival Caminos - Le retour des Caravelles. Une sorte d’épilogue festif – 21 concerts programmés du 16 au 25 septembre à l’Arsenal – à une grande aventure musicologique, née il y a vingt-cinq ans au Couvent Saint-Ulrich, grâce à Alain Pacquier, le père de Judith. Sous le nom « les Chemins du baroque », cette entreprise allait exhumer des centaines de partitions en Amérique Latine mais aussi faire restaurer des orgues et tenter de retrouver, grâce à des registres de fabriques, des photographies, à quoi ressemblait cet « autre » baroque né du syncrétisme des traditions autochtones et de la musique apportée par les missionnaires européens dès le XVI e siècle.

Mais, loin de réveiller seulement un patrimoine, ces aventuriers de la culture ont, fort heureusement, cherché à transmettre leurs découvertes aux nouvelles générations de musiciens latino-américains. En 2007, un Conservatoire itinérant est né, qui n’a depuis jamais cessé de monter des concerts. « On a monté des ateliers au Paraguay, au Pérou, en Colombie et au Chili », explique Judith Pacquier « et très vite donné des concerts avec des gens qui n’avaient souvent qu’un niveau de fin de premier cycle de conservatoire mais une telle énergie qu’en six mois, on arrivait à des résultats incroyables », poursuit-elle, rappelant la vivacité de la musique populaire dans tous ces pays. « Ce sont des gens qui ont appris un geste musical avant la partition. »

« Comme tout ce qui vient d’Europe, nous sommes capables de le transformer pour le faire nôtre », assure décomplexé Luis, un jeune Péruvien de 26 ans qui a troqué son hautbois pour un cornet à bouquin et découvert la musique baroque latino-américaine après avoir rencontré le Conservatoire itinérant à Lima en 2007. Franco-Paraguayien, Alexandre, 24 ans, a eu son premier choc en entendant sur un disque du label K617 « des sons de percussions dans une musique [qu’il] croyait être une musique de nobles avec des perruques ». Un stage organisé par le Conservatoire itinérant à Asunción l’a convaincu d’abandonner le piano pour le clavecin et d’embrasser le répertoire du baroque latino-américain. Il l’affirme : « Je suis venu en France pour découvrir d’où je viens et qui je suis. »
Gaël CALVEZ.