la presse au sujet de l'émission

Il est trop fort ce nikos !!
je vous jure!! il a un peu abusé, on a pas chanté les sabots tout le temps !!! mdr
mais il aimait tellement cette chanson!!
Va falloir lui apporter des sabots pour noel !!!!!

lu dans le Figaro.fr

Nikos Aliagas : «Je pourrais être producteur»

Mots clés : 500 Choristes, Buzz Média, Toute la musique qu'on aime, FRANCE, Nikos Aliagas, NRJ Group, TF1

Par Hélène Petit, Enguérand Renault
14/12/2010
Nikos Aliagas, animateur sur NRJ et présentateur sur TF1, est l'invité du Buzz Média Orange-Le Figaro.



Aux commandes depuis septembre 2009 de la matinale de NRJ, le 6/9, Nikos Aliagas a en grande partie contribué au retour de la station musicale à la seconde place nationale. NRJ a réalisé 10,7% d'audience cumulée sur la période septembre-octobre, devant France Inter (10,0%) et derrière le leader RTL (12,3%), selon l'enquête 126.000 Radio de Médiamétrie. «Je m'en réjouis. Ce sont plus de 15 mois de travail. A mon arrivée sur NRJ, le contexte radiophonique n'était pas le même. Il présentait des difficultés, notamment pour les radios musicales», se souvient Nikos Aliagas. Quelle est donc la recette de ce succès? «Une bonne équation entre de la bonne musique, de la proximité avec les auditeurs, des stars et des exclusivités. Cette formule commence véritablement à prendre et le lien avec les gens est fait. Quand je peux passer d'une interview cinéma avec Gilles Lellouche à de la musique avec avec Justin Bieber, Lady Gaga ou David Guetta, le tout avec beaucoup d'humour, je me dis que je ne me lève pas à 4 heures chaque jour pour rien !», assure Nikos Aliagas, entouré chaque matin par les animateurs Karine et Mustapha.

La programmation de NRJ repose sur deux piliers : Nikos et Sébastien Cauet, qui assure quant à lui la tranche 21h-minuit. Comment regagner du terrain en journée, entre ces deux temps forts de l'antenne de NRJ le soir et le matin ? «Le fait que nous soyons repassés deuxièmes montre qu'il est aujourd'hui possible de créer une vraie proximité. Il faut construire un pont entre le soir et le matin, accompagner davantage nos jeunes auditeurs à la sortie de l'école avec des jeux, de l'interactivité. Internet joue aussi en notre faveur. On compte plus de 120.000 abonnés sur la page «fans» du 6/9, et je passe ma journée à twitter. Le twit est considéré aux Etats-Unis comme une «valeur marchande», au même titre qu'une audience. Nous sommes en lien permanent avec les gens. Internet joue aujourd'hui un rôle incontournable. On disait les radios musicales terminées, elles sont revenues en gardant le divertissement et en y ajoutant du fond», estime l'animateur. Et de préciser : «On peut modeler un programme sur-mesure pour les auditeurs».

Côté télévision, Nikos Aliagas présentera en cette fin d'année différents grands rendez-vous sur TF1 : l'émission «500 Choristes» le 25 décembre en prime-time, avec les Prêtres, le trio figurant parmi les plus fortes ventes de disques en France en 2010, ainsi que la deuxième partie de soirée du 31 décembre avec «Toute la musique qu'on aime», et «La chanson de l'année» début janvier. «Depuis la Star Academy, l'événement est devenu mon fer de lance sur TF1. Nous avons fait le dernier concert de Johnny Hallyday au Stade de France, la spéciale Gerra, la spéciale Dubosc… Il y en aura d'autres, centrées sur l'humour. Je me réjouis d'être dans ce créneau», souligne Nikos Aliagas.

Tenté par une quotidienne ? «J'ai assuré beaucoup de quotidiennes sur TF1 pendant 8 ans, je suis ouvert à toute collaboration avec la chaîne qui m'a toujours soutenu. Une quotidienne, pourquoi pas… Une émission d'accueil ou quelque chose dans ce genre. J'en parlerai bientôt avec ma direction. Nous avons des projets. Sur les jeux, je n'ai pas de concept, je n'ai pas animé de concepts de jeux sur TF1, c'est une mécanique très particulière. Si je sais faire et si je peux être utile au programme et à la chaîne, pourquoi pas. Tout cela se discute. Au bout de dix ans à TF1, je me rends compte qu'il n'y pas de plan de carrière», confie-t-il.

Nikos Aliagas est l'un des rares animateurs qui ne soit pas producteur. Va-t-il se tourner vers la production? «Les temps ont changé, devenir animateur-producteur comme le sont Arthur ou Jean-Luc Delarue appartient à une autre époque où c'était beaucoup plus facile. Si je produis aujourd'hui, ce sera quelque chose que je pourrais défendre éditorialement et que je pourrais incarner. Dans cette optique, oui, [je pourrais] être producteur. [Je proposerais mes concepts] à TF1, la chaîne pour laquelle je travaille», précise-t-il.

Par Hélène Petit
Par Enguérand Renault
LE FIGARO

lu dans le Parisien.fr

EXCLUSIF.
Musique : les Victoires en changeant
Les prochaines Victoires de la musique, qui vont modifier leur cérémonie et leurs règles en profondeur, lorgnent du côté des grands shows américains comme les Grammy Awards. Revue de détail. | RéagirEMMANUEL MAROLLE | 20.12.2010, 07h00 Et le gagnant est… le changement. Il y a effectivement de la révolution dans l’air aux prochaines Victoires de la musique. Deux cérémonies, les 1er février et 1er mars, dans deux villes différentes, deux tours de vote et davantage de nominés… « L’événement faisait parfois un peu râler, explique Thierry Chassagne, PDG de Warner et nouveau président des Victoires pour deux ans.
Ce n’était pas assez ouvert pour certains, trop bobo pour d’autres, pas grand public ou trop centré sur les grosses maisons de disques. Cette fois, on a voulu que ce soit plus représentatif de la musique en France. »
Ainsi, le vote ne se fera plus sur un seul tour mais deux, pour éviter des choix trop corporatistes de labels ne votant que pour leurs artistes. La première étape vient de s’achever et la seconde va se concentrer sur huit nominés par catégorie. Et, cette fois, les paris sont effectivement plus ouverts.
En d’autres temps, il aurait été impossible de voir surgir, parmi la liste finale de quatre artistes, Asa et Souad Massi à côté de Véronique Sanson ou Françoise Hardy chez les filles, ou Yodelice et Louis Chedid face à Jean-Louis Aubert ou Christophe Maé chez les garçons. Sans parler des révélations où se croisent aussi bien Zaz et Ben l’Oncle Soul que les moins connus Florent Marchet, Okou, ou Lilly Wood and The Prick. Des découvertes qui auront cette fois leur propre cérémonie le 1er février sur France 4, en direct d’une ville de province. Pressentis dans un premier temps, Lille et son Zénith ne pourront peut-être pas accueillir les jeunes pousses de la chanson.
« Nous avons scindé en deux l’événement qui jusque-là durait quatre heures et était en fin de cycle. Là, ce sera deux émissions de deux heures et demie avec, sur France 4, un public très captif et sensible à la découverte. » La grande cérémonie des stars aura lieu le 1er mars sur France 2 à Paris, au palais des Congrès, et accueillera les révélations récompensées un mois avant. De plus, à côté du collège de 750 votants — producteurs artistes, journalistes, salariés du disque —, le public sera invité à voter par le biais des sites Internet de certains médias, dont celui du « Parisien » - « Aujourd’hui en France ».
Les Victoires se voudront donc plus équitables mais aussi plus sexy. « Nous voulons réaliser un supershow avec tapis rouge, chorégraphies, rencontres inédites et là il faut que les artistes jouent le jeu », ajoute Thierry Chassagne. A demi mot, on comprend que l’événement, qui pouvait parfois tourner à la remise de diplômes, lorgne désormais vers son cousin américain, les spectaculaires Grammy Awards où il se passe toujours quelque chose.
Trop de nouveautés pour France Télévisions? Selon nos informations, le service public, en plein changement de présidence, a tardé à donner des réponses au point que la manifestation était à deux doigts d’être récupérée par… M 6. Pas de commentaires sur la question du côté de Thierry Chassagne. Ce dernier avoue tout de même que la soirée sera réalisée par DMLS TV, qui a décroché le marché après un appel d’offres face à six concurrents. La société d’Anne Marcassus produit déjà « les Enfoirés », « la Chanson de l’année » ou « les 500 Choristes » pour la Une. Signe aussi de changement.


Le Parisien


et voici Anne Marcassus, lorsqu'elle est venue saluer les choristes, à la coupure repas du dimanche....

merci...
quel magazine télé????

bisous et bonne soirée!!!

TELE STAR

merci, Eugène!!!

Mais de rien , gros bisous

Anita m'a fait parvenir ces 2 articles... parus dans le Télé Loisirs de cette semaine ( du 25 au 31 décembre)....






merci de ce partage!!!
bisous!!

vu dans TéléTNT .... ( je vous ai scanné les pages....)







et voilà nos concurrents direct au niveau de l'audimat... ( pour une fois que ce n'est pas Patrick Sébastien!!!)t

article du RL du 24.12.10

médias sur tf1 demain soir

Pour Noël, les 500 choristes vont monter le son



Les 500 choristes lorrains emmenés par Jacky Locks vont enchanter la soirée de Noël proposée par TF1. Photo TF1

Après quelques années d’absence, les 500 choristes de Jacky Locks seront de retour en prime time sur TF1, demain soir, pour chanter Noël avec une vingtaine de grands noms de la variété française et internationale.

Michel Sardou, Yannick Noah, Garou, Zazie, Raphaël, Calogero, Tina Arena, Shy’m, Amel Bent, Lara Fabian, Jean-Louis Aubert et même James Blunt – et j’en passe – réunis sur un même plateau de télévision, beaucoup n’en espéraient pas tant pour Noël ! Pourtant, l’émission programmée demain soir sur TF1, en prime time, en offrira plus encore… Après trois ans d’absence dans un format de ce type, celle-ci marquera le grand retour des 500 choristes de Jacky Locks. Une aventure que les chanteurs lorrains ont vécue avec un appétit renouvelé comme l’explique le chef de chœur : « C’était un véritable plaisir de revenir dans de nouveaux décors, dans un nouveau studio mais avec un principe inchangé : proposer des duos ou trios entre un grand artiste et les 500 choristes. » Mais plus encore que le cadre ou « la question de la télé », c’est bien l’aventure humaine qui motive le groupe, assure Jacky Locks : « Avec une chorale composée d’anciens et de nouveaux à 50/50, c’est un temps de travail et de plaisir très fort que nous avons pu partager : les arrangements, les répétitions, les heures d’enregistrement, une épreuve et beaucoup d’émotion quand on y songe. Mais ce qui reste, c’est bien la qualité des échanges avec les artistes, avec l’animateur Nikos Aliagas, avec les gens de la prod’qui nous accordent leur confiance pour ce qui constitue tout de même l’un des budgets les plus importants consacrés à une émission de variétés. »

Les Trois prêtres en vedette
Singularité de ce rendez-vous, la date de sa programmation qui a largement dicté le fil rouge de la soirée : un hommage chanté à Noël et à ses valeurs de tolérance et de partage. Savoir Aimer, Ça m’regarde ou, les plus classiques, Il est né le divin enfant et Petit papa Noël version jazzy : rien ne manquera

Autour d’une telle thématique, les invités vedettes apparaissaient évidents : les Trois prêtres, dont l’album est déjà disque de platine (plus de 500 000 exemplaires vendus), chanteront ainsi à quatre reprises avec les 500 choristes. Un chœur 100 % lorrain comme se plaît à le rappeler Jacky Locks : « C ’est important pour moi, parce que je suis Lorrain, et c’est indispensable pour pouvoir répéter dans de bonnes conditions. Mais c’est surtout une vraie chance pour la région puisque la visibilité des 500 choristes permet également de monter des rendez-vous live de l’ampleur de ceux proposés en 2009 avec les 2 000 choristes au Galaxie, ou en juin dernier avec le Carmina Burana en compagnie de l’Orchestre national de Lorraine à l’Arsenal. »

Publié le 24/12/2010

à la UNE, première page du Républicain Lorrain

télévision

Les 500 choristes de retour sur TF1



Photo Pascal BROCARD

Les 500 choristes lorrains dirigés par Jacky Locks (photo) sont de retour sur le petit écran. Demain soir, ils animeront la soirée de Noël de TF1 au côté d’artistes comme Michel Sardou, Yannick Noah, Raphaël ou Lara Fabian. L’enregistrement de l’émission a représenté une expérience très forte pour l’une des chanteuses de la région, Christine Riblet.

Publié le 24/12/2010

vu sur " purefan"

Biographie de Nikos Aliagas
Nikos Aliagas est né le 13 mai 1969 à Paris. En 1988, après le bac, il s'inscrit à la Sorbonne pour préparer une maîtrise de littérature. Conjointement, il entre à Radio France Internationale (RFI) où il trie les dépêches de nuit. En 1992, après la fac, il se voit confier l'animation des matinales sur Radio Notre-Dame. L'année suivante, la chaîne de télévision Euronews cherche des journalistes polyglottes. Fort de ses cinq langues parlées (français, grec, anglais, italien, espagnol), il se voit confier la présentation de Prisma, une émission d'informations pour laquelle il interviewe des personnalités comme Madeleine Albright ou Yasser Arafat. Toujours sous contrat avec Euronews, il pige sur TMC où il présente le journal. C'est là qu'il est repéré en juillet 1998 par Estelle Gouzi, la productrice d'Union Libre sur France 2. Christine Bravo craque alors pour ce jeune chroniqueur affable et bosseur. Elle le nomme rédacteur en chef de l'émission en septembre 1999. Cette même année, il présente le JT sur Alter, une petite chaîne de télévision grecque. 2001 marque le tournant de sa carrière. Etienne Mougeotte le choisit pour présenter la Star Academy sur TF1. Il devient alors l'animateur-bateleur d'une émission qui depuis huit ans réunit près de 10 millions de téléspectateurs sur chaque prime. En janvier 2007, il remplace Guillaume Lacroix pour la présentation de 50 minute Inside aux côtés de Sandrine Quétier. Célèbre, il n'hésite pas à mettre sa notoriété au profit de causes en jouant notamment le Maître de Cérémonie de festivités comme Tout Le Monde Chante Contre le Cancer.
Le ministre de la Culture Renaud Donnedieu de Vabres l'a fait chevalier de l'Ordre des Arts et des Lettres en mars 2007.



Bibliographie :
Allez voir chez les Grecs, éd. Jean-Claude Lattès, 2003, 250 pages.

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vu sur " purefan "

Nikos Aliagas : " je n'ai plus peur d'être aimé "

News publiée Le Jeudi 23 Décembre 2010 à 12:54


Nikos Aliagas, qui cartonne sur NRJ chaque matin avec ses acolytes Mustapha El Atrassi et Karine Ferri, a présenté mercredi 22 décembre un magnifique spot que tout le monde attendait, baptisé 3 minutes de rêve.

Après le journal du soir de la première chaîne, il a annoncé le fameux film imaginé par la maison L'Oréal, dans lequel sont dévoilées trois versions inédites des publicités Trésor de Lancôme avec Penélope Cruz, Parisienne, d'Yves Saint Laurent avec Kate Moss, et Acqua di Gioia de Giorgio Armani avec Emily Dinonato. Une séquence sublime que vous pouvez découvrir ci-dessus.

Par ailleurs, à l'approche de cette fin d'année 2010, l'animateur officiant sur TF1 depuis presque dix années a répondu aux questions de TVMagazine, en kiosques vendredi 24 décembre.

TF1

Ce challenger toujours partant pour de nouveaux défis a évoqué l'arrêt de l'émission Star Academy, qui aurait pu freiner son ascension. "Je n'ai pas craint pour ma place même si je sais qu'aucun animateur ni journaliste n'est irremplaçable. A commencer par moi... J'aurais pu partir avec l'eau du bain, mais Nonce Paolini m'a dit : 'Tu as bien bossé et nous sommes très contents. L'histoire ne fait que commencer.' C'est une belle marque de respect, et les équipes de Laurent Storch, le directeur des programmes, sont réglo avec moi." Serait-il prêt à rempiler si le programme faisait son grand retour ? "Si je ne suis pas encore trop vieux. Ce ne sera pas une histoire d'argent, mais plutôt une histoire d'envie. Et encore faudrait-il qu'on me le demande."

Le journaliste de 41 ans a confié à quel point il était conscient que le monde de la télévision avait ses règles, parfois difficiles à accepter : "Si vous ne faites plus d'audience, que plus rien ne marche et que les téléspectateurs ne veulent plus de vous, il faut être prêt à partir ou passer à autre chose."

Ses projets

Celui qui aimerait présenter une émission telle que Ce soir (ou jamais), de Frédéric Taddéï, a évoqué son envie de devenir producteur, non pas pour "le business", mais surtout pour "être en phase" avec les programmes qu'il présente. "Difficile de vous en dire plus, car les choses sont en cours, mais c'est aujourd'hui mon souhait le plus profond."

Avant cela, ce marathonien du PAF sera aux commandes des 500 choristes fêtent Noël, de Toute la musique qu'on aime (le soir du nouvel an), de La chanson de l'année, le 7 janvier prochain, des NRJ Music Awards, à la fin du mois et bien évidemment de 50mn Inside chaque samedi. Beau programme. Cependant, s'il est populaire et sollicité, il sait qu'il n'est pas à l'abri : "Il n'y a aucune certitude dans la télévision ! Tout se passe dans le présent." Il a affirmé également n'avoir jamais songé à quitter la première chaîne, malgré les approches d'autres groupes télévisuels.

Ses confrères

Concernant le départ de Flavie Flament l'an dernier, il a réaffirmé la version selon laquelle tout s'était fait en douceur : "Je n'ai entendu personne à TF1 dire du mal d'elle depuis son départ. Le coeur et la raison sont deux choses bien différentes. Flavie a toujours sa place à la télé, comme Laurence Boccolini, que j'aimerais voir plus souvent à l'antenne."

A propos de l'affaire de drogue dans laquelle a été plongé Jean-Luc Delarue, il a lancé : "Je l'ai soutenu car je n'aime pas la façon dont la meute s'est déchaînée contre lui. Je ne suis ni juge ni procureur et je déteste la lapidation en place publique. Les problèmes de Delarue le concernent. Ce que j'en pense est mon affaire. Je n'irai pas balancer dans la presse ou sur un plateau télé."

Son coeur


En dix années de sur TF1, il a avoué que sa plus grande peine avait été la disparition de son ami Grégory Lemarchal. "Je suis encore très ému d'en parler. Greg fait partie de ma vie et ce lien tissé avec lui, ses parents et sa fiancée, Karine, est éternel. Son père a su répondre avec dignité aux détracteurs qui l'accusaient de s'être servi de son fils comme d'une bête de foire. Je ne pardonnerai jamais à ceux qui ont fait ça !"

Pour conclure, il a révélé son désir de vivre une belle histoire d'amour. "J'ai fait une boulimie de travail car je voulais me construire en tant qu'homme. Mais j'ai la conviction aujourd'hui qu'il y a un ange quelque part qui déploie ses ailes pour moi. Ce n'est qu'une question de timing. Si ça ne s'est pas encore fait à l'heure actuelle, cela se fera demain. Je suis serein face à l'amour. J'ai le droit d'être aimé pour moi. Et pas seulement pour ce que je représente. Avant j'étais terrifié, mais, aujourd'hui, je n'ai plus peur d'être aimé."

C'est tout ce que nous lui souhaitons...

Retrouvez l'intégralité de cette interview dans TV Magazine dès vendredi 24 décembre dans vos kiosques.



Laureline Reygner

vu dans le Dauphiné.com

Hautes-Alpes
Hautes-Alpes
L’année 2010 a consacré “Les Prêtres” en stars de la chanson


Dinh Nguyen Nguyen, Charles Troesch et Jean-Michel Bardet sont “Les Prêtres”. Leur album “Spiritus dei” a reçu le disque de diamant et c’est désormais le DVD de leur concert à Rouen qui cartonne. Un nouvel album est en préparation et devrait sortir le 18 avril 2011. VIRGILE




Prenez trois prêtres de campagne dont la belle voix fait le bonheur de leurs paroissiens et le succès de leurs messes. Ajoutez un évêque au carnet d’adresses prestigieux. Une belle dose d’action caritative et la “machine de guerre” publicitaire de TF1, et vous obtenez l’un des succès de l’année.

La recette irlandaise a produit des miracles avec The priests. Plus d’un million d’albums vendus dans la verte Erin, et des disques de platine dans de nombreux pays.

La recette française n’a rien à lui envier.

Dans les Hautes-Alpes, Mgr Di Falco, en charge du modeste diocèse de Gap et d’Embrun sait s’accommoder des vertus de la religion cathodique. Depuis son arrivée aux commandes de l’église locale, l’influent prélat remue le petit monde des croyants haut-alpins.

Par ses prises de position face à l’évêque révisionniste Mgr Williamson ou sur l’usage du préservatif en Afrique. Mais aussi en utilisant l’image de la bière 1664 pour mieux défendre la béatification de la bergère du Laus, Benoîte Rencurel, qui aurait vu la Vierge… en 1664. Ou encore en exposant dans la cathédrale de Gap l’émouvante sculpture de Paul Fryer, représentant le Christ sur une chaise électrique.

L’évêque défend sa vision, celle qui consiste à rajeunir l’image de l’Église, à créer le débat autour de la religion et à secouer les consciences.

“Les Prêtres”, c’est son idée. Et il ne s’en cache pas : elle était destinée à collecter des fonds pour des projets pastoraux et humanitaires. Le résultat a dépassé ses espérances.

Jean-Michel Bardet, l’un des trois chanteurs des Prêtres, curé “dans le civil” de la cathédrale de Gap, tâtait avec bonheur du trombone. Mais il ne s’était jamais vu dans le costume de chanteur à succès. Pas plus que Charles Troesch, ex-petit Chanteur à la Croix de bois, et curé de Saint-Roch à Gap, ou le séminariste Dinh Nguyen Nguyen, dit “Joseph”.

“L’évêque savait que nous avions tous les trois des affinités avec la musique. Didier Barbelivien a écouté nos voix et il a ratifié ce choix” explique Jean-Michel Bardet.

Leur baptême du feu a eu lieu autour des canapés rouges de Michel Drucker, un jour où Mgr Di Falco était l’invité vedette de “Vivement dimanche”.

La consécration artistique est venue le soir de Noël avec la remise en direct sur TF1 du disque de diamant (500 000 albums vendus) dans une soirée “500 choristes” où Les Prêtres seront les invités principaux.

La consécration tout court, elle est ailleurs, a coutume de dire le père Bardet.

Le prêtre gapençais reste modeste. “En tant qu’interprètes, nous restons des amateurs. Par contre, pour les arrangements ou la technique, nous avons affaire à de véritables professionnels.”

Pour leurs concerts, “Les prêtres” se sont aussi entourés des conseils de la coach vocal de la Star académy, Jasmine Roy. En leur présence, le disque vient d’être lancé en Italie et au Canada.

Que devient la paroisse pendant ce temps ? “On trouve du plaisir à ces enregistrements. Le plus difficile, c’est de jongler avec les emplois du temps. Je ne sais pas si nos paroisses en pâtissent. Mais on s’organise…”.

Reste que cette initiative est diversement appréciée. Certains jugent que la place des prêtres est auprès de leurs ouailles et non sous les paillettes du show-biz. “Je pense que c’est une fausse question, répond Jean-Michel Bardet. Être prêtre, ce n’est pas uniquement avoir une activité paroissiale. C’est porter sa foi et la vivre dans les différentes facettes de la vue. Pourquoi pas celle-ci ?”.

par Lionel ARCE-MENSO le 27/12/2010 à 05:00

vu dans Télé-Loisirs, du 15 au 21 janvier 2011 ( Rubrique<<vous avez la parole>>):



merci, Anita